Rendez-vous en 2025

La Transat Paprec, une expérience enrichissante pour les skippers

Dans moins de 48 heures, les 22 marins en lice sur la Transat Paprec prendront le départ de la première transatlantique en double 100% mixte. A terre mais aussi en mer, il sera possible de suivre le départ, toutes les informations pratiques dans ce communiqué. Au-delà de l’enjeu purement sportif, le format de la course permettra à certains d’engranger de précieux milles au large, mais aussi et surtout de l’expérience sur le circuit Figaro BENETEAU. Une expérience cruciale pour la suite de leur carrière, comme ça a été le cas pour Charlie Dalin et Armel Le Cléac’h, qui l’ont respectivement gagnée en 2012 pour le premier, 2004 et 2010 pour le second. Flashback. 

Comment suivre le grand départ ?

Le grand départ de la Transat Paprec, qui sera donné de Concarneau ce dimanche à 13h02, sera diffusé en direct de 12h58 à 13h24 sur France 3 Bretagne dans le cadre de l’émission Littoral. Il sera également possible de suivre le départ en direct sur le site Internet et les réseaux sociaux de la course (Facebook, Instagram, Twitter et YouTube) entre 12h55 et 13h50.

A terre, le grand public pourra venir encourager une dernière fois les skippers qui quitteront un à un le quai Carnot à partir de 10h30. Les spectateurs pourront ensuite admirer les bateaux sous voile avant qu’ils ne prennent le large depuis les remparts de la Ville Close de Concarneau, Cap Coz, Beg-Meil et le Cabellou. 

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Charlie Dalin : "une expérience enrichissante"

Vainqueur en 2012 de la Transat Paprec (ex-Transat AG2R) avec Gildas Morvan, Charlie Dalin, skipper de l’IMOCA MACIF, compte parmi les marins les plus talentueux de sa génération. Ses armes, il les a faites sur le circuit Figaro BENETEAU et notamment sur la Transat Paprec, qui fait la part belle à la transmission. « Cette course a été très bénéfique pour moi en 2012. C’était seulement ma deuxième année sur le circuit Figaro. On l’a gagnée avec Gildas (Morvan) qui m’avait fait confiance. J’ai beaucoup appris à ses côtés. Ça m’a permis d’engranger beaucoup d’expérience. Naviguer en double, échanger et travailler à deux sur la partie météo m’ont permis d’apprendre beaucoup de choses que j’ai pu ensuite appliquer seul sur mon bateau », explique le skipper normand, qui a tout gagné ou presque sur le circuit IMOCA en 2022.